Mesurez la qualité de l'air intérieur de votre établissement
Les différents facteurs de mesures
Les particules en suspension sont des particules de poussière, de saleté et de liquides aéroportées. Les PM1 ont un diamètre inférieur à 1 micromètre et sont invisibles à l’œil nu.
Les particules en suspension sont des particules de poussière, de saleté et de liquides aéroportées. Les PM2,5 ont un diamètre inférieur à 2,5 micromètres et sont invisibles à l’œil nu. La plupart des bactéries entrent dans cette catégorie.
Le dioxyde de carbone (CO2) n’est autre que l’air que nous expirons ; il affecte notre santé et notre productivité. Le niveau de CO2 est un bon indicateur pour savoir si une pièce est suffisamment aérée.
Les COV (composés organiques volatils) – produits chimiques, odeurs et toxines gazeuses en suspension dans l’air – ont des effets sur la santé à court ou à long terme, allant d’irritations mineures des yeux, du nez et de la gorge à des lésions hépatiques et rénales.
Un taux d’humidité trop élevé favorise l’apparition de moisissures et de pourriture, tandis qu’un faible taux d’humidité contribue à la propagation de virus dans l’air et à une sensibilité accrue aux rhumes et aux maladies respiratoires.
La température affecte votre humeur, votre niveau de confort et votre vigilance.
Un gaz radioactif invisible provenant du sol. Il est la cause principale de cancer du poumon chez les non-fumeurs.
Le poids de l’air – techniquement appelé “pression barométrique” – peut provoquer des maux de tête, des douleurs articulaires et de la fatigue.
Analyser l’utilisation de la lumière dans une pièce peut aider à identifier les gaspillages énergétiques.
Le volume sonore doit être maintenu à niveau suffisamment bas dans les zones d’exposition prolongée afin de stimuler la productivité et la concentration. Des niveaux de bruit élevés peuvent laisser des séquelles à long terme. L’intensité sonore se mesure en dB(A).
Il s’agit de calculer dans quelle mesure votre environnement intérieur est propice à la survie des virus aéroportés et à leur transmission.
Analysez les heures d’occupation des locaux pour identifier les bons moments pour faire fonctionner le système de ventilation de votre bâtiment, apaisez les plaintes relatives au climat intérieur grâce aux données en temps réel et sachez quand prendre des mesures.