Un smart building, c’est un bâtiment intégrant des équipements intelligents offrant de nombreux avantages. Cela peut aller du confort des occupants à l’optimisation des ressources énergétiques. Imaginez un lieu de travail où l’air que vous respirez est pur et frais, où les coûts énergétiques sont réduits, où la technologie travaille à votre service pour améliorer votre confort et votre bien-être.
En effet, les smart buildings améliore la qualité de l’air intérieur (QAI) tout en réduisant la facture énergétique grâce à leur système intelligent de surveillance et de traitement de l’air.
Respirer un air sain est vital pour notre santé et notre bien-être. Et pourtant, nous passons plus de 80 % de notre temps dans des bâtiments où l’air est jusqu’à 10 fois plus pollué qu’à l’extérieur. Dans les entreprises et les établissements publics, les techniques de ventilation et de traitement de l’air utilisées sont souvent inadaptées. Ils n’assurent pas la protection de la santé des occupants contre les polluants et les contaminants. Quelles sont les sources de polluants de l’air intérieur ? Comment pouvons-nous encourager les entreprises et les collectivités à investir dans des smart buildings pour créer des environnements de travail plus sains et plus durables ?
I. Pollution de l’air intérieur : les dangers méconnus dans les entreprises, les écoles, les hôpitaux, les établissements publics et privés
La qualité de l’air intérieur est un enjeu de santé publique majeur. Toutefois, les entreprises et les établissements publics méconnaissent souvent et sous-estiment les sources de pollution de l’air intérieur. Les effets néfastes sur la santé des occupants peuvent être multiples : irritations des yeux, du nez et de la gorge, maux de tête, allergies, asthme allant jusqu’aux cancers et aux troubles neurologiques. Il faut améliorer ainsi la qualité de l’air intérieur. C’est essentiel dans les lieux de vie et de travail. Cela passe par une meilleure compréhension des sources de pollution, la mise en place de systèmes de ventilation adaptés, l’utilisation de matériaux non toxiques. En effet, les principales sources de pollution de l’air intérieur sont nombreuses :
- les émissions de COV des matériaux de construction et des produits d’entretien ;
- les particules fines émises par les activités industrielles et humaines ;
- la fumée de cigarette et les polluants extérieurs qui s’invitent à l’intérieur des bâtiments.
Les polluants et contaminants causent des maladies graves. Les personnes les plus vulnérables sont les enfants, les personnes âgées et celles qui ont des maladies respiratoires ou cardiovasculaires. La surveillance de la qualité de l’air intérieur dans les bâtiments est alors essentielle pour assurer la santé et le bien-être des occupants.
II. Les capteurs connectés, la clé pour améliorer la qualité de l’air intérieur dans les bâtiments
Imaginez que vous entrez dans un bâtiment qui vous accueille avec une brise fraîche. Un tableau de bord mis à jour en temps réel vous rassure de la qualité de l’air tout au long de votre parcours. C’est ce que les smart buildings vous promettent. Ces bâtiments intelligents sont en effet équipés de capteurs connectés pour surveiller :
- les particules fines PM1 et PM2,5 en suspension dans l’air, responsables de 40 000 décès en France chaque année [1] ;
- le niveau de CO2, un indicateur pour déterminer si une pièce est suffisamment aérée
- les COV (composés organiques volatils) issus des produits d’entretien et des toxines gazeuses en suspension dans l’air pouvant causer des irritations mineures des yeux, du nez et de la gorge, voire des lésions hépatiques et rénales ;
- le taux d’humidité qui favorise l’apparition de moisissures quand il est trop élevé et contribue à la propagation des virus et des maladies respiratoires quand il est trop faible ;
- le radon, un gaz radioactif invisible et inodore provenant du sol, deuxième cause principale du cancer du poumon après le tabac.
Les capteurs de QAI enregistrent ces indicateurs en temps réel. Ils analysent également les heures d’occupation des locaux. Cette fonctionnalité permet d’analyser l’utilisation de la lumière par exemple. Cela évite les gaspillages énergétiques, tout en identifiant les bons moments pour faire fonctionner le système de ventilation. Enfin, les smart buildings sont évolutifs et flexibles, permettant une adaptation aux besoins changeants des occupants et de l’environnement.
III. Créer un smart building sur mesure, propre à votre activité grâce aux technologies Novalum
Novalum propose des solutions complètes pour créer des bâtiments intelligents. on parle alors de “smart building” car la solution est interfaçable via API/webhooks avec la GTB/GTC (gestion technique bâtiment, ou gestion technique centralisée) du lieu, qu’il soit privé ou public, en répondant aux réglementations en vigueur en matière de QAI [2].
Avec sa gamme de capteurs accrédités, il est possible de mesurer jusqu’à 12 facteurs en temps réel. De plus, grâce à l’enregistrement de l’ensemble des données et à l’utilisation du tableau de bord Airthings Business®, il est possible de créer un rapport complet. On peut l’éditer selon les horaires d’occupation et l’utilisation des espaces. Les résultats de l’analyse permettent d’identifier les solutions pour améliorer la qualité de l’air. Il est ainsi possible d’optimiser l’aération, la ventilation, l’aménagement intérieur, la gestion de l’occupation ou le déploiement de purificateurs d’air. Un smart building équipé des détecteurs Airthings permet par exemple de gérer l’humidité qui nécessite une plus grande attention [3].
Une prestation complémentaire est également disponible avec l’expertise d’un conseiller médical en environnement intérieur (CMEI) pour fournir un diagnostic complet et précis sur la QAI. Ces professionnels de la santé émettent des recommandations précises pour offrir un air sain et un environnement sécurisé aux occupants.
Novalum propose une large sélection de purificateurs d’air professionnels adaptés à tous les besoins. Certains modèles sont faciles à installer et à activer à distance via une application sur smartphone pour assainir l’air. Il est possible de déployer d’autres équipements mobiles dans l’ensemble du bâtiment afin d’améliorer la qualité de l’air intérieur.
Ainsi, il est possible de bénéficier d’un bâtiment intelligent qui offre un environnement sain et confortable tout en économisant de l’énergie.
En conclusion, la qualité de l’air intérieur est un enjeu majeur pour la santé et le bien-être des occupants dans les ERP. Les bâtiments intelligents équipés de capteurs connectés sont ainsi une solution innovante et efficace pour améliorer la QAI.
Novalum propose des capteurs certifiés et une solution complète pour améliorer la qualité de l’air intérieur. Ils peuvent aider à créer un bâtiment intelligent. Novalum est un bon choix pour un tel projet.
Références
[1] La pollution de l’air cause encore 40 000 morts par an