Les transports en commun présentent de nombreux risques de contamination vu l’affluence de personnes qui les empruntent chaque jour. Bus, taxis, trains, métro ou encore ferry, le nombre d’usagers est très élevé, surtout aux heures de pointe. Cela augmente ainsi le risque de propagation d’agents pathogènes. De plus, les gestes barrières et la distanciation sont souvent difficiles à tenir que ce soit dans les gares ou les véhicules. Pour limiter les risques sanitaires, il est nécessaire d’instaurer des protocoles de désinfection efficaces. Désinfecter l’air et les surfaces s’avère de ce fait incontournable pour assurer un environnement sain dans les transports en commun. De quelle manière ? Les réponses en détail.
I. La purification de l’air intérieur dans les transports en commun
Pour beaucoup de personnes, le transport en commun est un moyen privilégié pour se déplacer. Mais pour prendre les bus, les trains ou les navires, les utilisateurs doivent se présenter dans les gares et les stations. Or, l’air dans ces zones de transit est plus pollué, surtout dans les métros français [1].
Gaz d’échappement, particules de systèmes de freinage, transpiration ou encore produits chimiques d’entretien peuvent polluer l’air intérieur et les objets dans ces zones à fort trafic.
Différents contaminants peuvent également se retrouver dans l’air, tels que :
- Les virus, les bactéries et autres particules virales ;
- Les composés organiques ou minéraux volatils toxiques ;
- Les monoxydes de carbone ou encore les dioxydes d’azote.
L’utilisation d’un système de désinfection et de purification de l’air grande puissance, comme l’UVAIR 300-F de Novalum représente alors une solution efficace pour limiter la contamination par aérosols. C’est un moyen d’assurer la respirabilité de l’air et de lutter contre les microorganismes pathogènes. En outre, l’idée est d’en faire de même en cas d’affluence dans un grand espace comme :
- Les halls d’accueil ;
- Les guichets ;
- Les zones d’embarquement ;
- Les toilettes.
Peu bruyant, cet équipement permet de traiter, en permanence et en présence de personne, un volume d’air allant jusqu’à 1200 m³ par heure. D’ailleurs, HCSP (Haut Conseil de la Santé Publique) a émis un avis relatif au recours à des unités mobiles de purification de l’air dans les espaces clos pour limiter la diffusion de virus [2]. Le SHIELD de Novalum, une unité mobile de purification de l’air “made in France” répond à cette directive pour limiter la propagation de molécules virales d’un espace à l’autre. La purification de l’air consiste aussi à éliminer les odeurs indésirables. En effet, il s’agit d’un autre gage d’un confort recherché par les usagers qui transitent par ces lieux. Des systèmes de désinfection de l’air équipé de filtre charbon actif sont nécessaires afin de supprimer les mauvaises odeurs diffusées dans l’air.
II. La désinfection des surfaces dans les transports en commun
Afin d’assurer l’hygiène dans les transports en commun, les entreprises de transport public doivent suivre un protocole de prévention sanitaire [3]. En effet, lles sont tenues de désinfecter systématiquement leur matériel ayant accueilli des passagers. Un traitement efficace est incontournable pour éviter l’accumulation de contaminants dans les véhicules, les wagons de train, les cabines de ferry ou d’avion.
Cependant, la désinfection manuelle utilisant des produits d’entretien peut être inefficace dans la désinfection. Des polluants et contaminants volatiles peuvent persister en suspension dans l’air. Certains recoins difficiles d’accès ne sont pas traités convenablement, favorisant ainsi le développement des bactéries. De plus, l’utilisation excessive de produits chimiques peut provoquer des allergies et altérer certaines matières. Certaines zones ne peuvent être constamment humides, comme les chaises en tissus, afin d’éviter des moisissures.
La technologie de décontamination par la lumière se présente comme une alternative pour désinfecter les surfaces. En effet, cette méthode ne nécessite ni contact, ni l’utilisation de produits d’entretien chimique. De plus, elle permet d’obtenir une désinfection optimale contre toute sorte de micro-organismes pathogènes. Cette technique a déjà fait ses preuves dans la désinfection des véhicules dans le secteur du transport public et privé.
L’UVP36 de Novalum est adéquat pour traiter efficacement et rapidement l’intérieur des véhicules, trains, bateaux et même avion. Désinfection des barres de maintien, poignées, vitres, chaises, tapis de sol, pommeau de vitesse ou encore tableaux de bord, cet appareil assure un environnement sain pour les voyageurs et les employés.
Conclusion
Le brassage de voyageurs et d’employés dans un espace clos favorise la diffusion et la propagation des maladies. Les professionnels du transport en commun doivent alors trouver un moyen efficace de purifier l’air et les surfaces exposés aux contaminants. Novalum est une entreprise française qui peut conseiller et offrir des solutions adaptées aux besoins de désinfecter l’air et les surfaces au sein des transports en commun. En effet, lle peut proposer une large gamme de produits faciles à prendre en main et certifiés, conformes aux exigences sanitaires dans ce domaine, permettant d’éliminer 99,9 % des virus et des bactéries.
Références
[1] L’air des métros français plus pollué que l’air extérieur