Les mesures prises pour entretenir et décontaminer les objets du quotidien sont essentielles, notamment dans un environnement professionnel. Ces objets sont susceptibles de transmettre des infections lorsqu’ils sont pourvus de produits néfastes à la santé, de polluants, de microbes, de virus ou d’allergènes. Quelles sont les sources de contamination des objets au bureau ? Les réponses en détail à travers les conseils de Novalum.
I. Comment définir le terme “contaminant” ?
Par définition, un contaminant est un terme qui qualifie un élément organique ou chimique, présent dans l’air, l’eau, les sédiments ou sur les objets du quotidien. En outre, ce terme s’associe au fait que ces éléments sont constatés en quantité anormale, voire plus que d’habitude ou de manière non naturelle. En d’autres termes, un excès de contaminants est une source de contamination ou de propagation d’organismes [1], voire de microorganismes potentiellement dangereux pour la santé.
Le plus souvent, les contaminants sont d’origine biologique, chimique, mais également radiologique. En ce sens, un contaminant peut désigner des particules :
- Inertes (poussière, fibre…) : dans ce cas, il est question d’une contamination particulaire ;
- Viables ou des microorganismes : dans ce contexte, il s’agit d’une contamination microbiologique, ou une biocontamination ;
Des éléments chimiques (ozone, dioxyde, oxydes d’azote, dioxyde de soufre, métaux, COV ou composés organiques volatils…) désignent pareillement un contaminant. Dans ce dernier cas, la contamination est d’ordre chimique ou moléculaire.
II. Pourquoi prévenir la contamination des objets au bureau ?
La simple présence humaine affecte généralement la salubrité d’un local, notamment un bureau, selon un rapport de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale. Dans ce cas précis, il est nécessaire de se focaliser sur la nécessité de préserver la santé des utilisateurs de ce type de local professionnel, de l’ensemble des collaborateurs environnants, ainsi que des visiteurs. Il existe plusieurs objets utilisés au quotidien, dans un bureau. Toutefois, ceux qui sont susceptibles de suivre un protocole de décontamination fréquente sont les suivants :
- Les smartphones ;
- Les tablettes ;
- Les ordinateurs portables ;
- Les mobiliers ;
- Les enceintes, les casques ou les écouteurs ;
- Les stylos, les marqueurs, les surligneurs…
III. Quelles sont les 3 principales sources de contamination des objets au bureau ?
Dans le cas où les contaminants sont présents dans un environnement professionnel et clos, les risques de leur transmission sont d’autant plus importants. En parallèle, les microbes, les virus, les allergènes et les bactéries se propagent à grande vitesse lorsque ces microorganismes évoluent dans un environnement qui leur est favorable. Au bureau, il existe diverses sources de contamination des objets utilisés au quotidien et dans le cadre des activités professionnelles. Les principales sont les suivantes :
A. Les poussières
Les poussières sont généralement d’origine minérale, végétale ou animale [2]. Elles restent souvent en suspension dans l’air, mais se repèrent aussi au niveau des objets utilisés au bureau.
Sous forme de poudre, les poussières peuvent être produites directement de matières premières. Dans ce cas précis, un processus de transformation de ces matières libère les poussières, lorsque ces dernières sont transportées ou stockées. Des opérations de démolition ou de nettoyage produisent également des particules de poussières.
En les classant par ordre de grandeur décroissante :
- De 10 à 100 microns, ce sont des poussières totales qui sont retenues facilement par les fosses nasales ;
- De 5 à 10 microns, ces poussières pénètrent dans la trachée, les bronches et les bronchioles ;
- À partir de 0,5 micron, les poussières se déposent sur les alvéoles pulmonaires.
Potentiellement dangereux pour la santé, les poussières sont susceptibles de causer des :
- Gênes respiratoires ;
- Crises d’allergie ;
- Effets toxiques pour l’organisme humain, dont une neurotoxicité ou effets immunologiques ;
- Lésions au niveau du nez : rhinite, perforation de la cloison nasale ou un cancer de l’ethmoïde ;
- Effets fibrogènes à travers le développement de tissus conjonctifs dans les poumons ;
- Effets cancérigènes dans les poumons.
B. Les postillons et les éternuements
Lorsqu’un individu éternue ou lors d’une quinte de toux, il expulse un nuage de gaz, d’air chaud et aussi humide. En somme, les gouttelettes de diverses tailles présentes au niveau des postillons et des éternuements sont nocives pour notre santé. En effet, elles contiennent des agents pathogènes pouvant transmettre des maladies. De plus, ces fluides expulsés par le corps humain peuvent se déposer sur les objets du bureau et, in fine, contaminer par contact direct d’autres individus.
C. Les Biofilms
Par définition, les biofilms englobent un ensemble de microorganismes caractérisés par :
- Une matrice hydratée ;
- Une richesse en polymères extracellulaires ;
- Une facilité à se fixer sur la surface, dont celle des objets.
De plus, des biofilms bactériens et fongiques sont constitués de polysaccharides, de protéines, d’acides nucléiques, voire des agents tensioactifs. En conséquence, les biofilms sont fixés à un support et sont à l’origine d’environ 75 % des infections bactériennes [3], dont les ostéo-infections ou les otites.
Conclusion
Votre spécialiste en désinfection des surfaces, de l’air et des objets, Novalum, accompagne tout professionnel à sécuriser leurs locaux, dont leurs bureaux, par rapport à tout risque de propagation des contaminants, polluants et microorganismes néfastes pour la santé. Dans cette optique, des dispositifs professionnels, efficaces à 99,99 %, innovants, certifiés et conformes aux normes les plus exigeantes en matière de santé publique et de lutte contre la contamination des objets au bureau. Pour de plus amples informations, n’hésitez pas à visiter notre site Internet ou à nous contacter directement.
Références
[1] Contaminant : définition, explications
[2] Poussières