Objectifs du millénaire : villes et communautés durables grâce aux UV

17 juin 2021

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En 2015, la thématique “villes et communautés durables” a été adoptée parmi les 17 Objectifs de développement durable (ODD) fixés communément par l’Assemblée générale des Nations unies. La crise causée par la Covid-19 montre l’importance de cette thématique dans la lutte contre les maladies émergentes. Dans sa version complète, elle vise à “Faire en sorte que les villes et les établissements humains soient ouverts à tous, sûrs, résilients et durables”. Il s’agit de limiter les risques sanitaires et environnementaux dus à l’expansion incontrôlée des villes. La surpopulation dans les métropoles a favorisé l’implantation de certaines habitations dans des zones à risques naturels, source des zoonoses. Ces maladies se transmettent de l’animal à l’homme et inversement. Comment la technologie UVC peut-elle protéger la communauté face à ces menaces ? Ce dispositif est-il assez polyvalent pour se protéger contre un nouveau risque de pandémie ?

I. Pour des établissements sûrs et durables

La technologie UVC a la capacité de réduire les risques biologiques de manière écologique. Elle participe de ce fait à l’objectif n°11 cité dans les Objectifs de développement durable (ODD) qui veut que les établissements humains soient sûrs, résilients et durables.

a. Une technologie sûre à la hauteur des risques biologiques

Le rayonnement UV-C est déjà exploité depuis plus de 40 ans pour son efficacité connue dans la désinfection de l’eau, de l’air et des surfaces. D’une longueur d’onde de l’ordre 254 nm, il est produit par des lampes UV-C à basse pression. L’irradiation émise est assez puissante pour briser l’ADN et l’ARN de tous les êtres vivants. Ces luminaires désinfectants reçoivent ainsi des qualifications en tant qu’UV virucide, UV bactéricide ou encore UV germicide. Ils permettent de détruire 99,9 % des micro-organismes pathogènes.

Plus particulièrement pour le SARS-CoV2 à l’origine du coronavirus, le Dr Anthony Griffiths et son équipe ont conduit des analyses au National Emerging Infectious Diseases Laboratories de l’Université de Boston aux États-Unis. Il y a été prouvé qu’une dose d’UVC de 5 mJ/cm2 pendant 6 secondes suffit pour détruire 99 % du virus sur une surface inoculée [1]. Avec une dose d’UV-C de 22 mJ/cm2, 99,9999 % du virus SARS-CoV-2 s’inactivent en l’espace de 25 secondes.

Installés dans les établissements publics et privés, les dispositifs de désinfection par rayon UV sécurisent ainsi chaque local contre les risques biologiques.

b. Une technologie accompagnant le développement durable

La désinfection UV est écologique. Elle reste entièrement en accord avec le développement durable puisque le processus est exempt de déchets. Le luminaire désinfectant se suffit à lui-même sans ajout d’additifs supplémentaires.

Bien sûr, la lampe UVC fonctionne avec du mercure à basse pression. Toutefois, ce composant reste recyclable à 99,9999 %. À la fin de son cycle de vie, la lampe UVC doit rejoindre un organisme de collecte dédié aux lampes usagées.

Développement durable et recyclage : lampes usagées

II. Pour des villes résilientes capables de contenir les risques d’épidémie

Depuis le début de la crise épidémique, les autorités sanitaires préconisent les gestes barrières pour limiter les risques de contamination. Malgré tout, le coronavirus a touché plus de 177 millions de personnes à travers le monde en 2 ans. Ce n’est pas parce que les gestes barrières sont inefficaces mais parce qu’ils n’ont pas été suffisants et suffisamment appliqués. Qui plus est, la contamination aéroportée du coronavirus a été longtemps négligée par la communauté scientifique. En effet, les analyses de différents cas de super-contamination tendent à prouver maintenant que le coronavirus se transmet majoritairement par l’air [2].

Pour combler ces lacunes et renforcer le protocole sanitaire, la technologie UVC reste indispensable car aucun produit d’entretien n’est capable de lutter contre les micro-organismes pathogènes contenus dans l’air. Un dispositif de purification de l’air par UV est capable d’assainir et dépolluer en permanence l’air ambiant. Il reproduit le rayonnement ultraviolet émis par le soleil dans sa longueur d’onde la plus efficiente pour éliminer 99,9 % des agents pathogènes en suspension dans l’air. Le dispositif de désinfection de surface par UV irradie quant à lui les virus et les bactéries qui se déposent sur toutes les surfaces exposées.

Conclusion

La technologie UVC demeure la solution la plus écologique et la plus économique distribuée par Novalum pour sécuriser les espaces de vie. Grâce à sa polyvalence, elle a la capacité de lutter contre les risques d’épidémie présents et à venir. En effet, la cohabitation avec les virus est possible et demeure inévitable. À moins de prendre les bonnes précautions, ces micro-organismes pathogènes peuvent occasionner une nouvelle crise épidémique incontrôlable.

Références

[1] Signify and Boston University validate effectiveness of Signify’s UV-C light sources on inactivating the virus that causes COVID-19

[2] A guideline to limit indoor airborne transmission of COVID-19

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