Déconfinement et reconfinement se sont succédé l’un après l’autre depuis le début de la crise épidémique, nécessitant le renforcement du protocole sanitaire. En France, les différentes restrictions ont causé une récession estimée à 8,2 % en 2020. Le pays comptait 1.332 décès par million d’habitants au 1er mars 2021 si la moyenne européenne est de 1.092. Malgré tout, le déconfinement progressif reprend avec un nouveau protocole sanitaire en entreprise. Aération des locaux, sondage du taux de dioxyde de carbone et facilitation de la vaccination représentent entre autres les nouvelles mesures préconisées pour réduire les risques de contamination. Cependant, ces nouvelles mesures seront-elles suffisantes pour protéger le personnel ? Peuvent-elles empêcher la transmission aéroportée du coronavirus ? La technologie UVC peut-elle contribuer à la sécurisation des espaces de vie. Les réponses en détail.
I. Une reprise des activités progressive et prudente
À chaque fois que la levée du confinement est annoncé, de nouvelles consignes sont adressées au patronat et aux syndicats. Cette nouvelle reprise des activités cherche avant tout à concilier activité économique et protection des salariés. Voici le programme de déconfinement prévu pour le 9 juin 2021 :
- Les bars, les restaurants et les casinos rouvrent à 50 % de leur capacité après sept mois de fermeture ;
- La limite dans les magasins, les marchés et les musées passe à 4 m² par personne ;
- Les salons et foires rouvrent à 50 % de leur capacité ;
- Les établissements d’enseignement doivent respecter la jauge de 50 % contre 65 % pour les festivals assis en plein air, les cinémas et les salles de spectacle ;
- Les mariages et les cérémonies religieuses restent limités à un siège sur deux ;
- L’ouverture des frontières aux touristes étrangers sous réserve du pass sanitaire ;
- Les discothèques restent fermées et les concerts demeurent interdits.
Dans le cas où la capacité d’accueil reste impossible à définir, la limite est fixée à 5.000 personnes dans le respect des règles de distanciation. Au-delà de 1.000 personnes, un pass sanitaire est obligatoire.
II. Un retour à la normale incertain requérant un protocole sanitaire renforcé
Le risque épidémique demeure encore important dans l’hexagone au vu des données sanitaires. Qui plus est, différents variants de la COVID-19 circulent sur le territoire français. Ils peuvent avoir un impact majeur sur tout le territoire français, justifiant ainsi la mise en place d’une veille permanente couplée à des mesures de gestion spécifiques au niveau national, dans l’objectif de contenir leur progression. Selon les dernières analyses de Santé Publique France, la circulation de ces variants est devenue plus homogène.
L’Organisation mondiale de la santé a classé quatre d’entre eux comme “préoccupants”.
1. Le variant indien B.1.617
La présence de ce variant indien a été confirmée le 29 avril 2021 par l’intermédiaire du ministère de la Santé. Depuis le 11 mai 2021, il est considéré “préoccupant” par l’Organisation mondiale de la Santé.
2. Le variant anglais B.1.1.7
Le premier cas a été confirmé à Tours le 25 décembre 2020 chez un Français qui est rentré de Londres. Selon les rapports du Conseil scientifique publiés le 6 mai 2021 [1], le variant anglais est nettement majoritaire sur le territoire français, entre 70 % et 90 % en fonction des régions.
3. Le variant sud-africain B.1.351
Particulièrement présent dans l’Est, le variant sud-africain est plutôt bien maitrisé. Cependant, il peut réinfecter des patients guéris de la COVID-19 tout comme il peut “contourner l’immunité”, selon l’explication du ministre de la Santé Olivier Véran.
4. Le variant brésilien B.1.1.248
Il est apparu pour la première fois en Amazonie et a été détecté au Japon le 2 janvier 2021 chez 4 voyageurs en provenance du Brésil. D’après le bulletin épidémiologique de Santé Publique France du 29 avril 2021, le variant brésilien représente 5 % des cas de contaminations en France. Le Conseil scientifique s’inquiète particulièrement de la résistance des variants brésiliens BR-P1 contre les vaccins ARNm et aux anticorps neutralisants [2].
II. Une seule technologie pour venir à bout de 99,9 % des virus et autres agents pathogènes
Le variant brésilien, anglais et indien présentent tous les trois une mutation dont les modifications les plus significatives se situent au niveau de la protéine S (ou Spike). Or, cette dernière représente la cible de la réponse immunitaire. Ils sont alors moins sensibles à l’immunité acquise et à la vaccination.
Puisque l’efficacité des vaccins reste discutable, la solution la plus radicale serait de combattre le coronavirus de l’extérieur par le biais des rayonnements UVC. Cette technologie permet de renforcer le protocole sanitaire. Il peut anéantir 99,9 % des virus et des agents pathogènes. Elle peut contenir autant les transmissions aéroportées que les transmissions indirectes via des surfaces contaminées. La polyvalence du rayonnement UVC vient de sa capacité à détruire la liaison hydrogène qui structure l’ARN et l’ADN de tous les êtres vivants.
Conclusion
Si les professionnels veulent retrouver un soupçon de stabilité, ils doivent contribuer à la réduction des risques biologiques en investissant dans une technologie utile et efficace aussi bien maintenant qu’à l’avenir. En effet, le coronavirus représente seulement un cas parmi tant d’autres menaces biologiques contre lesquelles l’homme fait face. Il est important de savoir comment se protéger des maladies émergentes grâce aux UVC. Novalum s’est spécialisé dans la distribution des solutions UVC pour soutenir les entreprises et les collectivités désireuses de sécuriser efficacement et durablement leurs espaces de vie.
Références
[1] PRINTEMPS 2021 : POUR UNE REOUVERTURE PRUDENTE ET MAITRISEE AVEC DES OBJECTIFS SANITAIRES